Notre histoire

Epéda, itinéraire d'un savoir faire

L’excellence Epéda n’est pas née de la dernière nuit. Depuis 1929, elle unit en sa literie le meilleur de la tradition et de la technologie françaises. Derrière son savoir-faire unique, ceux de ses Beaux-Faiseurs, les talents et artisans qui perpétuent le Beau Dormir depuis des générations. Sous son élégance inégalée, celle de ses matières, lin, chanvre ou laine raffinés, sélectionnés auprès de producteurs français triés sur le volet. Car la singularité d’Epéda s’ancre aussi dans sa farouche volonté de fabriquer en France, un choix qui contribue incontestablement à ses incomparables qualités.
En posant ses outils dans l’atelier de Levallois-Perret, Bertrand Faure n’avait sans doute pas imaginé jusqu’où ses sièges de tramway l’emmèneraient.

2022

Les matelas de notre collection Epéda Origines ont été récompensés par les consommateurs à travers l’obtention du prix « Elu Produit de l’Année 2022 », dans la catégorie matelas à composants naturels.

2019

Réédition de la toile à matelas
Pour fêter les 90 ans de la marque, Epéda célèbre la toile de ses débuts. Et continue de réinventer le sommeil.

2015

Naissance du Beau Dormir ! Epéda devient ainsi le porte-parole des Beaux Dormeurs (les amoureux du sommeil), qu’elle prépare pour des nuits exceptionnelles.

2011

Les matelas Epéda intègrent une nouvelle technologie : multi-air®.

2006

Avec sa ligne Dédicace lancée en 2006, Epéda renoue avec le geste qui a fait la renommée de la marque : le capitonnage. De cette minutieuse opération, qui consiste à nouer à la main chacun des 42 liens transverses afin d’associer les faces du matelas, naissent les luxueux capitons et la longévité Dédicace, si emblématiques d’une haute tradition de literie française.
Une perpétuelle adaptabilité qui a permis à Epéda d’étendre le Beau-Dormir un peu partout dans le monde et de fêter ses 90 ans. En posant ses outils dans l’atelier de Levallois-Perret, Bertrand Faure n’avait sans doute pas imaginé jusqu’où ses sièges de tramway l’emmèneraient.

1974

Au savoir-faire historique, Epéda a su associer les avancées technologiques : ainsi les ressorts Multizones (1996) se sont adaptés à la morphologie du dormeur, les ressorts ensachés Air’optima (2006) ont engendré le confort progressif ; la suspension multi-actif (2011) a été combinée à des amortisseurs morphologiques pour rendre le matelas indéformable et les ressorts respirants multi-air (2012) ont permis d’optimiser sa durabilité.

1967

En 1967, à nouveau mus par l’idée d’un confort toujours plus précis, les Ets Faure repartent à la conquête de l’innovation. Après avoir fait le tour des inventions et fureté parmi les licences internationales, ils investissent à nouveau dans un brevet de suspension allemand. Plutôt qu’un maillage de ressorts autonomes, il s’agit d’un unique fil d’acier tricoté en spires, signant de fait la fin du ressort qui vous réveille en traître. Ainsi, avec sa technologie multispire, Epéda crée « les matelas les plus confortables du monde », les mêmes qui font dire aux héros des premiers spots TV « Je veux mon Epéda ! ».

1972

C’est l’année de la consécration, l’excellence de la marque est officiellement reconnue et elle est élue N°1 de la literie française. Loin de s’endormir sur ses lauriers, Epéda n’a depuis cessé de se réinventer, repoussant les limites du confort, faisant le choix de matières toujours plus nobles et de finitions toujours plus raffinées. Au savoir-faire historique, elle a su associer les avancées technologiques.

1950

Portée par son succès grandissant, Epéda devient officiellement une marque en 1950. Quatre ans plus tard, le grand public peut enfin faire l’expérience de ce fameux matelas dont on vante tant les vertus. « Sommeil Epéda, réveils heureux », « le matelas Epéda [qui] fait mieux dormir »… certains slogans marquent les esprits et contribuent à la notoriété de la marque. Avec le temps, la qualité s’améliore encore, chaque jour portée par l’amour du travail bien fait. En coulisses, les Beaux-Faiseurs, les ouvriers, couturières et ganseurs Epéda connaissent leur partition sur le bout des doigts et la tradition des beaux gestes Epéda se transmet désormais d’une génération à l’autre.

1930

La mécanique s’emballe. Désireux d’améliorer le confort de ses sièges, M. Faure rachète une licence de fabrication de suspensions à ressorts, le brevet EPEDA, EPEDA étant l’acronyme des patronymes de ses inventeurs, les Allemands Ehlenbeck, Pattes et Daverpolster. Il améliore manifestement le bien-être des passagers… et celui de ses ouvriers qui, à l’heure de la sieste, investissent naturellement les sièges de tramway. En les observant, Faure a une idée : pourquoi ne pas utiliser le système Epéda pour produire un matelas ? Aussitôt dit, aussitôt fabriqué : le tout premier matelas à ressorts sort des ateliers Faure. Il l’ignore encore mais il va détrôner le matelas en laine, et changer la nuit des Français.

Alors au sommet de leur gloire, les compagnies maritimes ont également passé commande et les matelas Epéda contribuent activement au prestige de leurs paquebots. On peut aisément imaginer les voyageurs de mythiques compagnies de navigation fendant les flots confortablement allongés à bord du Normandie, du Lafayette ou de l’Île de France. Qui sait, peut-être qu’à l’aube des années 30 les matelas Epéda ont navigué jusqu’à New York ?

1929

La mécanique s’emballe. Désireux d’améliorer le confort de ses sièges, M. Faure rachète une licence de fabrication de suspensions à ressorts, le brevet EPEDA, EPEDA étant l’acronyme des patronymes de ses inventeurs, les Allemands Ehlenbeck, Pattes et Daverpolster. Il améliore manifestement le bien-être des passagers… et celui de ses ouvriers qui, à l’heure de la sieste, investissent naturellement les sièges de tramway. En les observant, Faure a une idée : pourquoi ne pas utiliser le système Epéda pour produire un matelas ? Aussitôt dit, aussitôt fabriqué : le tout premier matelas à ressorts sort des ateliers Faure. Il l’ignore encore mais il va détrôner le matelas en laine, et changer la nuit des Français.

1914

M. Bertrand Faure installe son atelier à Levallois-Perret pour y fabriquer des sièges pour le métro et le tramway parisiens. L’expérience aidant, le progrès opérant, les Ets Faure vont bientôt diversifier leur activité et se lancer dans la sellerie pour automobiles et pour avions.